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Bourseul

Bourseul

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Eglise de Saint Nicodème

La paroisse de Bourseul est, sous l'Ancien Régime, un prieuré-cure de l’abbaye de Beaulieu et appartient au diocèse de Saint-Malo. L'ancienne paroisse de Bourseul avait pour subdélégation et pour ressort Dinan. La cure était à l'abbé de Saint-Jacut. Durant la Révolution, la paroisse de Bourseul dépendait du doyenné de Plancoët. Bourseul élit sa première municipalité au début de 1790. 

Certains lieux-dits tels que le village de l'Hôpital témoignent de la présence des Templiers et/ou des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie du Temple de Lannouée en Yvignac était jadis possessionnée en Bourseul.

L'église Saint-Nicodème (1848), construite, semble-t-il, sur l’emplacement d’un édifice Templier. En mars 1844, est posée la première pierre de la nouvelle église dans laquelle sont incorporés deux porches romans du XIIème siècle de l'ancienne église. " Edifice en forme de croix latine. Construit sur les plans dressés par M. Cocheril, entrepreneur à Dinan, et visés par M. Ramard, la première pierre en fut posée en mars 1848 et il fut terminé en moins de deux ans. On y a incorporé les deux porches romans de la fin du XIIème de l’ancienne église dont la reconstruction avait été reconnue indispensable en 1847 par M. Aubry, architecte à Dinan. En 1855, l’on construisit la sacristie et fit quelques transformations. Sur le placître, croix du XVIème ornée sur le socle du symbole des évangélistes comme à Jugon, Broons, Landébia, etc. "

La chapelle Saint-Roch

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La chapelle Saint-Roch, construite au hameau Saint Méen, écart du chef-lieu de la paroisse de Bourseul, est un petit édifice datant du XVIIIes., mais vraisemblablement reconstruit sur l’emplacement d’un édifice beaucoup plus ancien. Malgré l’absence totale de sources historiques, la conjonction de nombreux indices trahit en effet l’ancienneté de la paroisse, qui remonte peut-être à la première période de christianisation de l’Armorique, aux Ve et Vie siècles

Corseul

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Église paroissiale Saint-Pierre

Au début du 19e siècle, l'ancienne église est jugée trop vétuste pour accueillir les fidèles. Elle est démolie en deux temps afin de maintenir le culte et reconstruite au même emplacement. De l'ancien édifice, seul le portail Nord est conservé, l'analyse du cadastre ancien permet cependant de valider plusieurs phases de travaux.

Le 5 mars 1825, la première pierre de la tour du clocher est scellé. La nouvelle église est construite en 1836 et 1838 par les dons des paroissiens.

Chapelle Sainte-Eugénie

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L'édifice primitif situé dans l'écart portant le même nom remontant au 14e ou 15e est agrandi au 18e siècle. La chapelle tréviale comprenait à une période antérieure au 19e siècle un cimetière et une croix plus ancienne que celle présente au sud de la chapelle. Au 19e siècle la toiture de la chapelle est rehaussée et une sacristie est accolée à la partie nord de la chapelle. Les travaux sont financés par les recettes du filage du lin offertes par les habitantes des écarts voisins. Le logement du prêtre se trouvait à Nisnizan.

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Croix à soubassement de granite, avec inscription altérée "jubilé 1879", le socle présente l'inscription "O crux ave spes unica" suivi le date d’érection de la croix (1895) et mention de l'atelier Y Hernot à Lannion. Le fût de la croix présente un phylactère gravé de l'inscription "Jésus miséricordieux". Sur la hampe avec écots est fixé le Christ crucifié réalisé en fonte.

Créhen

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Église paroissiale Saint-Pierre

Eglise de l'époque romane (vers 1100) reconstruite au cours de la 1ère moitié du 19ème siècle. Mentionnée en 1163 dans une bulle du pape Alexandre III, l'église paroissiale de Créhen, dédiée dès cette époque à Saint-Pierre et faisant partie de l'abbaye de Saint-Jacut dont elle fut un prieuré-cure jusqu'à la Révolution, a été pillée par les troupes anglaises lors de l'expédition de Saint-Cast en 1758. En vertu des recommandations émises le 29 novembre 1811 par la commission départementale des bâtiments civils, elle a été reconstruite et agrandie de 1817 à 1831 (dates portées : 1817, 1822, 1831). Les travaux ont été réalisés d'après René Couffon par François Fouré (entrepreneur de maçonnerie), Michel Puschet (charpentier) et Jean Peronne (couvreur).

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Congrégation de la Divine Providence

LA FONDATION DE NOTRE CONGRÉGATION RELIGIEUSE À CRÉHEN

Un matin de 1821 après la messe, le P. Guy Homery, curé de Créhen, prolonge son action de grâce à l’église. « A ce moment-là, j’entendis une voix, à gauche, du côté de l’Evangile, qui me dit intérieurement mais bien distinctement ces paroles: 

« Commence, mon enfant, la Providence viendra à ton secours ».

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LANDEBIA

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Landébia vient du breton « lan » (monastère) et Tebia ou Tébiau (obscur saint breton) ou Tybien, saint d’origine galloise.

Landébia est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Pluduno. Le nom de Landébia (Landebiau) apparaît en 1214 dans un acte relatant un accord entre le duc et Olivier de Tournemine. Landebia existe comme nom de famille, dès 1263 et comme nom de lieu dès 1264 (Anc. év. III, 142, 144). Landébia est cité, cette fois avec le titre de paroisse (Anc. év. VI, 212) dans le testament de Rolland de Dinan (1er mai 1303).

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La croix Dom Jan ou Dom Jean ou de saint David (1545)

Languenan

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Église Saint-Jacques-le-Mineur 

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Languenan vient du breton « lan » (monastère) et de saint Kenan, saint breton originaire d'Irlande qui fut élevé au rang d'évêque par saint Jaoua.

Languenan est un démembrement des paroisses primitives de Corseul (moitié sud) et de Ploubalay (moitié nord).

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Notre-Dame-de-Nazareth

Plancoët

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plancoet

l'église Notre-Dame-de-Nazareth (XVII-XXème siècle), construit par les dominicains afin de remplacer une chapelle édifiée en 1664 ou 1644. La nef et le choeur datent du XVIIème siècle. On a placé derrière le maître-autel une petite statue de la Vierge, trouvée en 1621 dans une fontaine (appelée aujourd'hui Ruellan) depuis longtemps comblée, que les Templiers, dit-on, avait surmontée d'une croix.

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Eglise Saint-Sauveur

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l'église Saint-Sauveur (1885-1893), déjà sous ce vocable en 1239 et oeuvre de l'architecte Franjeul. Elle comprend une nef avec bas côtés de cinq travées, plus celle du clocher, un transept et un choeur avec carole. Les plans furent dressés par M. Frangeul et présentent un mélange assez déconcertant des styles roman, gothique et Renaissance. La bénédiction de la première pierre eut lieu le 25 octobre 1885, la consécration de l'église le 11 juin 1893.

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Plancoët vient du breton « plaen » (plat) et « coët » (bois).

 

Plancoët, né d'un défrichement forestier, est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Pluduno. Nazareth, le territoire de la commune actuelle de Plancoët situé à l'est de l'Arguenon, est une ancienne trève de Corseul, trève qui se retrouve d'ailleurs un temps rattachée à la commune de Pluduno avant que Plancoët n'acquiert son autonomie municipale.

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